Voile ou Hijab les véritables significations et
leurs portées
Je reviens sur ma promesse de ne plus intervenir sur la laïcité
et je ressorts de ma tanière avec la publication du projet de loi sur la laïcité
de l’État que va nous vendre le gouvernement de la CAQ sans que nous puissions
l’amender au cas où il est incomplet mais qui constitue à n’en point douter un
dossier risqué pour cette législature. Qu’on le veuille ou
non ce qui dérange le plus au Québec c’est, ce que je qualifie, d’entrisme
malfaisant des islamistes qui veulent à tous prix imposer leur idéologie à la
société d’accueil tout en refusant de respecter ses lois pourtant votées par
son législateur selon des principes démocratiques bien établis.

Mon propos ci-après
est pour donner suite à ce titre ‘’ironique’’ lu dans un média électronique
d’un chroniqueur qui ne fait pas partie de mes références et qui a écrit : ‘’
Pour en finir avec le voile … ‘’. Il croit savoir mais en fait ignore la
signification politique du hijab[1]. Ce n’est pas le seul,
puisqu’ils sont nombreux tous ces chroniqueurs de divers médias écrits, parlés
et télévisés, à faire comme lui et qui commencent sérieusement à nous agacer
... Nous les musulmanes et les musulmans qui n’ont d’autre objectif que de
vivre en paix dans une société harmonieuse et tolérante comme celle des
Québécoises et des Québécois.

Le hijab sa signification et
sa portée politique
Une première précision s’impose, comme musulman, je ne suis pas contre les personnes musulmanes, les groupes de musulmanes et les communautés musulmanes de pratiquer leur foi selon leurs rites, leurs principes et leurs règles sociales et culturelles, cependant je m'inscris en faux contre l'utilisation de l'Islamisme. Dans le même segment de réflexion, j’ai déjà évoqué le féminisme islamiste et les motivations des femmes qui portent le voile prétextant qu’elles le font par conviction et par soumission à Allah, pour ma part je les qualifie d’activistes parce qu’elles sont les plus néfastes à la cohésion sociale du Québec.
https://quebec.huffingtonpost.ca/ferid-chikhi/feminisme-islamique-intrusion-effraction-radicalisation-fanatisme_a_23607534/
Seconde précision, si l'on accepte cette idée, celle de l’Islamisme comme étant la religion musulmane, il faudra préciser et rappeler que les jeunes femmes et jeunes filles nées dans les pays où l’Islam est religion d’État, où la société en est une d’hommes, où l’islamisme a sévi ou sévit encore … et même dans les monarchies du Golfe Arabe/Persiques, se battent tous les jours pour se libérer de ce carcan.
Une première précision s’impose, comme musulman, je ne suis pas contre les personnes musulmanes, les groupes de musulmanes et les communautés musulmanes de pratiquer leur foi selon leurs rites, leurs principes et leurs règles sociales et culturelles, cependant je m'inscris en faux contre l'utilisation de l'Islamisme. Dans le même segment de réflexion, j’ai déjà évoqué le féminisme islamiste et les motivations des femmes qui portent le voile prétextant qu’elles le font par conviction et par soumission à Allah, pour ma part je les qualifie d’activistes parce qu’elles sont les plus néfastes à la cohésion sociale du Québec.
https://quebec.huffingtonpost.ca/ferid-chikhi/feminisme-islamique-intrusion-effraction-radicalisation-fanatisme_a_23607534/
Seconde précision, si l'on accepte cette idée, celle de l’Islamisme comme étant la religion musulmane, il faudra préciser et rappeler que les jeunes femmes et jeunes filles nées dans les pays où l’Islam est religion d’État, où la société en est une d’hommes, où l’islamisme a sévi ou sévit encore … et même dans les monarchies du Golfe Arabe/Persiques, se battent tous les jours pour se libérer de ce carcan.

Bien entendu une question sera posée : Pourquoi le
faire ? La réponse se résume à ce qui suit : ce sont les islamistes
qui disent qu'ils sont les membres actifs du Parti d’Allah (Hizb Allah = Le Parti
de Dieu) ou celui qui énonce la victoire de l'Islamisme (ENOSRA), ils le disent
depuis fort longtemps la seule loi qui s’appliquent à eux et à leur
environnement social est la Charia.
Le sens profond du hijab
Une autre précision : Le hijab, recèle en lui l’idée, la représentation ou encore la pensée d’un premier sens générique qui est ignoré par toutes et tous et qui véhicule une double signification : Traduit en français ou dans les autres langues, ce mot veut dire rideau, séparation, tenture … ou encore devanture et non pas habit ou foulard qui couvre la tête des femmes. Il référait tout simplement à une séparation de l'espace en deux, celui des hommes étrangers à la maison du Prophète et celui de ses femmes[2].
Ensuite, l’histoire nous le rappelle, après le décès du Prophète, le pouvoir masculin a étendu le territoire le hijab en l’imposant comme séparation entre les espaces de tous les hommes et ceux de toutes les femmes. Enfin, à l’adresse de celles et de ceux, en général des islamistes et pas des musulmans, qui citent les versets d’al-Ahzâb (33ième sourate), le khimar est un châle et le djilbab ou le thaûb, sont des fichus, ports par les femmes de l’époque dans ces mêmes pays du golfe Arabe. Ils n’avaient pas pour fonction de couvrir comme elles voudraient nous le faire accroire la tête mais bien les épaules et la poitrine. Juste une affaire décence sociale pour ne pas dire pudeur sociale. Cette même pudeur s'applique aussi aux hommes, voire les vêtements qu’ils portent dans les pays du golfe persique.
Le sens profond du hijab
Une autre précision : Le hijab, recèle en lui l’idée, la représentation ou encore la pensée d’un premier sens générique qui est ignoré par toutes et tous et qui véhicule une double signification : Traduit en français ou dans les autres langues, ce mot veut dire rideau, séparation, tenture … ou encore devanture et non pas habit ou foulard qui couvre la tête des femmes. Il référait tout simplement à une séparation de l'espace en deux, celui des hommes étrangers à la maison du Prophète et celui de ses femmes[2].
Ensuite, l’histoire nous le rappelle, après le décès du Prophète, le pouvoir masculin a étendu le territoire le hijab en l’imposant comme séparation entre les espaces de tous les hommes et ceux de toutes les femmes. Enfin, à l’adresse de celles et de ceux, en général des islamistes et pas des musulmans, qui citent les versets d’al-Ahzâb (33ième sourate), le khimar est un châle et le djilbab ou le thaûb, sont des fichus, ports par les femmes de l’époque dans ces mêmes pays du golfe Arabe. Ils n’avaient pas pour fonction de couvrir comme elles voudraient nous le faire accroire la tête mais bien les épaules et la poitrine. Juste une affaire décence sociale pour ne pas dire pudeur sociale. Cette même pudeur s'applique aussi aux hommes, voire les vêtements qu’ils portent dans les pays du golfe persique.

Alors, Monsieur le Premier Ministre, Mesdames et Messieurs les
ministres, Mesdames et Messieurs les élu-e-s du Québec de grâce adoptez ce texte
par lequel les signes politiques et les symboles religieux ne soient pas
autorisés là où les citoyennes et les citoyens du Québec souhaitent se
rassembler et vivre selon les valeurs et les lois du pays. Dans cet espace
commun et citoyen géré selon par l’État qui n’exige ni ne nécessite aucune clause
Grand-Père.
Ferid Chikhi
https://quebec.huffingtonpost.ca/ferid-chikhi/laicite-etat-voile-hijab-veritables-significations-portees-quebec_a_23702059/?utm_hp_ref=qc-blogues
1 commentaire:
vous devriez publiciser votre site partout merci
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