Ce qui suit est un témoignage de mon cheminement personnel où deux existences cohabitent et illustrent ma vie. La première, durant laquelle j’ai été contrainte de vivre sous des lois religieuses servant de bouclier à la lâcheté des hommes qui ont fait de moi une mineure à vie. La deuxième, depuis mon arrivée au Québec, où par la force des lois civiques et laïques, je suis citoyenne à part entière. Cette égalité des sexes, il faut le rappeler, s’est faite grâce au long combat des femmes québécoises, soutenues par toute la composante humaine de la société, contre l’obscurantisme.
mercredi 21 avril 2021
Je suis une citoyenne Québécoise émigrante d'Algérie un pays musulman
Leila Lesbet
samedi 23 janvier 2021
L’inquiétante intolérance de la nouvelle commissaire antiracisme
Le rôle de choisir une personne chargée de faire reculer le racisme, bien réel et vécu à Montréal n’est pas chose facile. Informé des objections qui pouvaient être faites à l’endroit de la commissaire désignée, Bochra Manaï, un des porte-parole de la mairesse a indiqué que « la Ville ne peut pas, légalement ou moralement, rejeter un candidat qualifié sur la base de ses positions ou emplois passés. »
Tout au contraire les positions et les
emplois passés ne sont-ils pas un indicateur essentiel pour juger de la
capacité de la personne choisie d’accomplir sa tâche d’écouter, de rassembler,
d’agir sur un sujet délicat avec le plus de nuances possible et par conséquent
d’obtenir des chances de succès ?
Sa définition du racisme
La définition que Mme Manaï a du racisme est
évidemment au cœur de la question. Rappelons que le racisme est fondé sur une
idéologie sur la croyance qu’il existe une race supérieure.
Or, la religion n’est pas une race ! N’en
déplaise au parti municipal au pouvoir et au conseil municipal qui a condamné à
l’unanimité la Loi 21 sur la laïcité. À l’encontre des 65% des Montréalais qui
favorisent l’interdiction des signes religieux pour les policiers et 58% pour
les enseignants (Crop sur la RMR novembre 2018).
Mme Manaï a livré en 2019 un discours rempli
d’amalgames où elle a inscrit dans la même logique l’adoption de la loi sur la
laïcité, l’attentat de la Mosquée de Québec et celle de Christchurch
(Nouvelle-Zélande). Elle a même indiqué que « le Québec est désormais une
référence pour les suprémacistes extrémistes du monde entier ».
https://twitter.com/actionnationale/status/1350094050968350725?s=20
Estime-t-elle que la Loi 21 sur la laïcité
est raciste ?
Cela semble être le cas puisque cinq fois, en
entrevue au 98,5 FM avec Bernard Drainville, elle a refusé de se prononcer sur
cette question. Qui ne dit mot consent !
Pense-t-elle donc que la forte majorité des
Montréalais favorables à cette loi présentent des symptômes de racisme ?
Écoutez l'entrevue de Richard Martineau avec
Louise Beaudoin sur QUB radio :
Les
défenseurs de la laïcité bafoués
Désormais, la commissaire chargée de faire
reculer le fléau raciste, ne devrait-elle pas se prévaloir de cette forte
tradition historique québécoise favorable à la séparation des religions et de
l’État ?
On sait qu’un bon nombre de Québécoises
musulmanes ou nord-africaines ont soutenu le combat pour la laïcité, celles
qu’elle accuse d’être des « laïcards ». Loin de se montrer respectueuse des
divergences d’opinions au sein de la diversité québécoise, irresponsable, Mme
Manaï, a nommément accusé ces femmes d’avoir précipité « les Québécois dans une
chasse aux musulmans » https://quebec.huffingtonpost.ca/bochra-manai/je-me-souviendrai-de-la-campagne_b_5101188.html
faisant d’elles des cibles à abattre pour les islamistes, les réduisant à de «
pseudo-intellectuelles assurément exotiques ». https://quebec.huffingtonpost.ca/rakia-fourati/je-me-souviendrai-et-le-quebec-se-souviendra_b_5134989.html?ncid=other_email_o63gt2jcad4&utm_campaign=share_email
La critique confondue avec la haine
Sa définition du racisme est également problématique et dépasse le simple mépris pour ses contradicteurs au sujet de la laïcité. Dans un texte sur l’islamophobie, elle explique clairement que toute critique de l’Islam est une forme de racisme contre les musulmans
: « Les détracteurs du terme islamophobie
évoquent l'idée qu'il est possible de « critiquer » l'islam, sans pour autant «
détester » les musulmans. Or, cette hostilité qui s'exprime à l'encontre de
l'islam comme religion semble directement liée au rejet des musulmans
eux-mêmes. »
Elle souscrit donc à « toutes les définitions
de l’islamophobie comme racisme. » Ne distinguant pas la lutte contre l’Islam
radical, la critique de la religion et le racisme.
Avis donc à tous ceux qui osent dire que
l’Islam, même modéré, est fondamentalement inégalitaire, - comme d’ailleurs le
judaïsme ou le christianisme. Ils sont, au vu de la commissaire, des racistes.
La commissaire Manaï juge-t-elle avec moins
d’ouverture d’esprit les Montréalais qui critiquent l’Islam radical ? Ou encore
estime-t-elle que des Imams et Ayatollahs extrémistes qui endoctrinent ceux qui
décapitent et tuent au nom du prophète ailleurs sont des victimes ?
Ne serait-ce que pour ces amalgames qui ne
distinguent pas la lutte contre l’Islam radical et la critique de la religion,
la mairesse de Montréal n’aurait jamais dû la nommer.
Les coupables sont-ils les démocrates ?
Dans un texte intitulé « le Quiproquo de la radicalisation
»,
https://quebec.huffingtonpost.ca/bochra-manai/le-quiproquo-de-la-radicalisation_b_6855668.html
elle qualifie de « vaste supercherie » l’idée que des imams radicalisés
poussent au crime et au djihad des jeunes montréalais.
Il s’agit, écrit-elle d’une « pseudo-théorie
de la radicalisation comme processus théologique » promue à son avis, par les
services de renseignements occidentaux. On convient que le processus de
radicalisation des djihadistes occidentaux est un phénomène complexe lié à
plusieurs facteurs.
Cependant la négation obstinée de Mme Manaï
du rôle joué par les réseaux islamistes violents, radicaux et financés par
l’Iran, l’Arabie saoudite ou le Qatar, relève d’un dangereux aveuglement, d’un
manque de discernement et de nuances.
Montréal a été épargnée, ces toutes dernières
années, par le phénomène, mais l’Europe occidentale en constate les dégâts quotidiennement.
L’occident responsable du manque
d’intégration ?
On pourrait penser que la nouvelle
commissaire estime au moins que les assassins des caricaturistes et du
personnel de Charlie Hebdo et de l’Hyper cacher à Paris ont répondu aux appels
aux meurtres lancés par les imams et ayatollahs violents du Moyen-Orient,
appels relayés par des prédicateurs djihadistes locaux. Pas du tout ! Dans un
texte ahurissant
https://quebec.huffingtonpost.ca/bochra-manai/les-desintegrees_b_6479836.html
consacré à cette tuerie, Mme Manaï porte
la totalité du blâme sur la France et les écueils qu’ont connu ses politiques
d’intégration. La nouvelle commissaire s’attriste même du fait que son analyse
sur l’échec des valeurs républicaines françaises « échappe à ces millions de
marcheurs » réunis dans la foulée de l’attentat pour défendre le droit à la
liberté d’expression et réprouver la haine de la civilisation occidentale
portée par les djihadistes.
Si le texte juge que la politique française
envers sa population arabe et ses banlieues a créé des conditions de
l’aliénation d’une partie de la jeunesse, on est surpris de ne pas y lire à
tout le moins un mot sur la coresponsabilité des recruteurs islamistes.
Une nuance ici, la France qui nous a précédés
sur ce chemin, a compris que pour vivre harmonieusement il faut séparer
l’Islamisme de l’Islam.
Les forces maléfiques occidentales
Mme Manaï introduit bien dans son texte un
élément géopolitique. Elle parle de « l'union des forces maléfiques » qu’elle
décrit ainsi : « une solidarité inconditionnelle des États les plus meurtriers
de l'Histoire ». Elle qualifie de « forces maléfiques » les pays occidentaux
qui ont participé à des opérations militaires au Moyen-Orient. Elle ne parle ni
de l’Iran, ni de l’Iraq, ni des talibans, ni de la Turquie, etc. https://quebec.huffingtonpost.ca/bochra-manai/les-desintegrees_b_6479836.html
Ne serait-ce que pour ce délire spirituel, la
mairesse de Montréal aurait dû choisir un/e candidature avec un profil de
rassemblement, de tolérance et surtout de pédagogie citoyenne.
L’idée que se fait Mme Manaï du racisme et
des racistes, des Montréalais et des Québécois, est qu’ils portent en eux ce
dangereux stigmate du racisme, qu’elle a pour mandat de les accompagner et de
les redresser sur les chemins de la tolérance et de l’acceptation de l’autre,
c’est-à-dire sur le chemin de l’acceptation de l’Islam radical et contre cette
dangereuse loi de la laïcité.
Faire, entre autres, cet amalgame entre race
et religion revient à la négation totale de la liberté de conscience, une
liberté des plus fondamentales qui est au cœur de la démarche laïque.
Comment peut-on lutter contre le racisme et
contre la discrimination tout en bafouant complètement cette liberté
fondamentale ?
Alors que la laïcité permet justement une neutralité viable pour TOUS les citoyens, quels que soient leurs convictions religieuses.
Signataires
Louise Beaudoin, ex-ministre des Relations
internationales (Québec)
Agnès Maltais, ex-ministre de la Culture et
des Communications (Québec)
Évelyne Abitbol, ex-conseillère spéciale à la
diversité culturelle à l’AssNat
Mohand Abdelli, P.Eng., ingénieur retraité,
Montréal
Jawad Amerzouk, chercheur doctorant en
sociologie des problèmes publics, et conseillers en développement des
compétences. (UQAM)
Suzie Baillargeon, Enseignante retraitée pour
enfants immigrants
Daniel Baril, vice-président du Mouvement
laïque québécois (MLQ)
Frédéric Bastien, historien
Sylvie Bergeron, écrivaine
Étienne-Alexis Boucher, Société nationale de
l'Estrie
Zahra Boukersi, enseignante
Ferid R. Chikhi, Conférencier & Formateur
François Côté, Avocat
Claude Kamal Codsi, président du
Rassemblement pour la laïcité (RPL)
Francine Desjardins. Gestionnaire
Andrée Devault Professeur à la retraite
Amin Djema, Gestionnaire TI et vlogueur
Anne-Emmanuelle Lejeune, membre du CA, PDF-Québec
Nadia El-Mabrouk, membre du RPL
Marie-Claude Girard, membre du RPL
Louise Guilbault, membre de PDF.-Québec
Ensaf Haidar, militante et défenseure de la
Laïcité (FRBL)
Hassan Jamali, écrivain et professeur à la
retraite
Lucie Jobin, membre du RPL
Yves Laframboise, membre du RPL
Richard Lajoie, enseignant
Ghisline Larose, féministe
Mona Latif-Ghattas, écrivaine
Leila Lesbet, présidente PDF. Québec, CSF
2013-2018
Christine Levesque, Professeure et membre du
CA de PDF.-Québec
Hélène Massé, enseignante
Léon Ouaknine, écrivain
David Rand, président, Libres penseurs athées
(LPA)
Andréa Richard, membre de l’Union des
écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ)
Louis Robichaud, Artiste
Guillaume Rousseau, Avocat
Johanne St-Amour, féministe
Ferroudja Si Hadj Mohand, Membre Association
québécoise des Nord-Africains pour la laïcité (AQNAL) féministe universaliste
Claire Simard, professeure-chercheure
retraitée et Mbre CA de PDF-Québec
Khaled Sulaiman, journaliste et écrivain
Nicole Vermette, orthopédagogue retraitée,
membre de PDF-Québec
Michel Virard, président, Association
humaniste du Québec (AHQ)
L’inquiétante intolérance de la nouvelle commissaire antiracisme | JDM (journaldemontreal.com)
vendredi 18 décembre 2020
Choc culturel et discrimination allégués se sont invités au procès contre la Loi 21
En 2019, Hadrien Mathoux du journal français Marianne soulignait l’alliance de trois piliers de la contestation de la Loi 21: celui des religieux, celui d’une certaine gauche radicale, celui des libéraux favorables au multiculturalisme. Le procès de la Loi 21 a pris fin mardi le 16 décembre et a confirmé cette alliance, révélant partis pris et préjugés dont l’analyse serrée devra se faire un jour.
en faire l’objet de leur thèse et sans doute démontrer et conclure que le champ juridique et le champ scientifique sont des champs de lutte pour l’autorité, comme aimait le rappeler le sociologue Pierre Bourdieu.
jeudi 19 novembre 2020
Le Coran est leur constitution & la Charia leur Charte !
Deux fléaux en ce début de décennie
Depuis le début de l’année 2020, le monde fait face à deux évènements majeurs porteurs d’incertitudes les unes plus à risque que les autres : le plus répandu, le Covid19 et l’attente du vaccin pour le réduire ; le second reste malheureusement l’islamisme et son djihadisme multiforme poursuivant leur expansion par la violence et l’intimidation contre tous ceux qui s’opposent à eux par la pensée, les idées progressistes et la plume.
2020, la décennie des incertitudes et de la censure
Des contingences, il en existe un grand nombre mais un des défis majeurs auxquels est confronté le monde beaucoup plus que les pays arabo-musulmans est celui de l’incrustation du fléau islamiste et la revendication d’une hégémonie qu’il ne peut imprimer qu’avec l’intimidation et la terreur. Face à ce fléau il n’y a que des libres penseurs, des laïcs, des intellectuels, des femmes progressistes luttent depuis quatre décennies en alertant, en écrivant, en parlant et en dénonçant ses actions suicidaires, victimaires et culpabilisantes. Ils le font pour la consolidation des libertés d’expression, de la laicité et du vivre ensemble en bonne intelligence. Alors, une question persiste et elle se résume comme suit : Comment lutter contre un ennemi de la citoyenneté ?
Dans les pays arabo-musulmans, avec le silence complice de leurs États totalitaires, l’islamisme ne tue pas autant que par le passé récent, il intimide et il a appris à le faire en assignant en justice (Djihad Juridique) tous ceux qui sont contre lui. Il défend ses ‘’valeurs’’ régressives en s’assurant du soutien d’associations aveuglées par la haine de l’autre et dont les membres sont à la recherche d’un sentiment d’appartenance perdu à jamais. Pourtant, il est clair qu’une seule stratégie pourrait être porteuse de tranquillité. Il s’agit de la cautérisation des racines du mal par une unité d’action contre les États et les bailleurs de fonds qui financent directement ou indirectement les groupes ou les individus Kamikazes.
Gouvernance et État de droit
Nous savons qu’un État de droit, n’est pas seulement une administration de lois, c’est une gouvernance fondée sur une législation qui préserve les libertés citoyennes et invite chacun à vivre librement tout en respectant ses concitoyens. C’est ce qu’a fait le gouvernement du Québec en adoptant la loi 21 relative à la laïcité de l’état.
Ce qui veut dire que l’État est tenu de veiller à la pérennité des lois qu’il adopte au nom des citoyens, même si ces lois sont rejetées par ces minorités qui n’en veulent pas semble-t-il parce que les leurs sont meilleures. Malheureusement, ces attaques contre la législation du pays d’accueil émanent toujours de personnes qui déclarent sans hésitation que le Coran est leur charte et que la Charia est leur constitution, et mieux encore, ils ne sont pas tenus de les respecter.
Les menaces répétées contre les sociétés démocratiques
Au Québec, la grande majorité des citoyens est exaspérée par ces attaques indélicates et toujours haineuses mettant de l’avant l’offensive redondante de ces personnes poussées à hurler leur victimisation et à culpabiliser toute la société d’accueil. Pourtant, leurs prestations médiatisées montrent l’indigence de leurs propos et la faiblesse de leurs arguments. Tout ceci pour dire que ce sont des évènements sans fondements qu’ils mettent de l’avant.
En France, la décapitation d’un enseignant à proximité de son école, cœur du savoir et des sciences de la république, interpelle tous les laïcs et montre que le pays des Lumières est tétanisé par sa proximité avec les monarchies du Golfe. L’assassinat de Samuel Paty qui expliquait à ses élèves l’ouverture d’esprit que chacun doit avoir ; qui les aidait à développer à l’endroit de tous ce qu’est l’esprit critique ; qui leur parlait des apprentissages multiples du génie humain et surtout leur montrait comment cheminer sur la voie de l’Ijtihad - l’effort personnel de voir les choses de la vie autrement - sa décapitation n’était pas seulement un acte terroriste c’est aussi la livraison d’un message à la République Française et à ses alliés qu’en dehors des principes, des règles et des ‘’valeurs’’ enseignés dans le cadre nébuleux de l’Islamisme il n’y a point d’enseignement ni de recherche du savoir. Faut-il en arriver à subir de tels actes au Québec pour se réveiller ?
Il faut convenir que c’est la perversion de l’Islam par le Wahhabosalafisme, le Khomeynisme et la fraternité islamiste qui ont fait ressurgir des préceptes d'un autre âge, sans quoi, il ne reste qu'à nier la mémoire des aïeux qui ont été pour la grande majorité de pieux musulmans, pacifiques et sereins. Ils n’avaient en tête que les cinq piliers (la foi en dieu, la prière, le jeun, l’aumône et le pèlerinage pour qui le peut), les belles célébrations ou commémorations ou encore les pratiques rituelles qui font la tradition musulmane partout dans le monde.
Réfractaires aux lois des pays d’accueil ...
Ces idéologies islamistes (l’Ayatollahisme et le Wahhabisme, ainsi que leur succédané, la Fraternité islamiste) veulent imposer leurs lois et leurs valeurs islamistes sans partage. Deux visions, deux conceptions se font face : celle du contre et celle du pour. Du côté des contres, les concepts qui reviennent le plus souvent sont : racisme, xénophobie, exclusion, islamophobie, stigmatisation, congédiement, chômage, départ, précarité, et … LIBERTE, etc. Du côté des pour : il est question d’adaptation, d’intégration, de tolérance, de vivre ensemble, de respect mutuel, de solidarité, de partage, etc. des valeurs que tous les peuples de progrès partagent en bonne intelligence. Partout où l’islamisme sévit les intérêts des uns et des autres configurent la confrontation entre la régression et le progrès. Les uns s’indignent que les sociétés d’accueil leur imposent leur mode de vie. Ils le refusent, ‘’s’ostracisent’’ et rentrent dans une bulle qu’ils fortifient en se référant à des principes soi-disant religieux alors qu’ils sont plus idéologiques. Apparaissent alors les contours de la suprématie idéologique qui se fonde sur la religion à des fins politiques. L’exemple est remarquable lorsque les plaintes de certains sont entendues au cours des auditions devant la Cour supérieure du Québec, contre la loi 21 portant laïcité de l’État Québécois.
C’est réellement la déclinaison d’un projet de société qui prêche la confusion théologique contre la cohésion sociale. Cela reflète des enjeux qui prônent l’implantation d’une législation d’exceptions celle d’un statut personnel incompatible avec le préexistant et par conséquent menaçant l’édifice législatif par l’enchâssement de fondements légaux arbitraires ayant une portée régressive et obscurantiste.
Ferid R. Chikhi
https://www.convergencesplurielles.com/2020/11/un-numide-en-amerique-du-nord-341.html
lundi 8 juin 2020
La laïcité, garantie d’un État moderne
vendredi 10 avril 2020
Loi 21, portant laïcité de l’État Québécois, une belle victoire pour les laïcs
dimanche 20 octobre 2019
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Les petits contes voilés*
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